Emmett Cullen
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Messages : 13 Date d'inscription : 31/01/2010
![Emmett Cullen Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | Sujet: Emmett Cullen Dim 31 Jan - 22:13 | |
| Fiche de personnageI/ Infos civiles Prénom complet : Emmett Dale Nom complet : McCarty Cullen Nom usuel : Emmett Cullen Âge apparent : 20 Âge réel : 74 Marié(e) ?Oui, à Rosalie Hale Cullen.
II/ Infos un peu moins conventionnelles... Régime : Végétarien Pouvoir : Aucun, mais physiquement très fort, même pour un vampire. Camp (Cullen/Volturi/Neutre) : Cullen III/ Qui êtes-vous ?Description physique : [5 lignes minimum] Emmett porte de jolies boucles brunes lorsqu'il se laisse pousser les cheveux mais les porte en général coupés assez courts, et est grand, massif, à l’image de quelqu’un qui soulèverait de la fonte avec obstination ; cependant, ce n'est absolument pas le cas, il se contente de chasser le grizzli. Bien évidemment, il a la peau très pâle et les yeux ambrés qui s'assombrissent lorsqu'il est en colère ou affamé. C'est le plus grand des Cullen, à l'exception de Jasper un tout petit peu plus grand que lui, mais beaucoup plus mince. Description caractérielle : [5 lignes minimum] Il est vraiment le joyeux luron de la famille Cullen, toujours prêt à détendre une situation par l’humour et à se lancer dans une bonne bagarre : il semble même parfois un peu gamin. Il prend la vie du bon côté et s’amusait énormément de la maladresse de Bella lorsqu'elle était avec eux. Du point de vue alimentaire, Emmett affectionne surtout les grizzly et encore plus lorsque ceux-ci sortent d'hibernation : ils sont alors très irritables et donc bien plus drôles, tout le monde sait ça... Histoire : [10 lignes minimum] Une marche silencieuse dans la forêt. L'ours était là, regardant dans la direction opposée. Emmett tenait son pieu dans la main. C'était comme ça qu'il aimait chasser, de la manière la plus rudimentaire possible, afin d'augmenter la poussée d'adrénaline. Plus que quelques pas, et il serait parfaitement placé pour enfoncer son pieu dans le cœur de l'ours. Il faut réfléchir avant d'agir !Il se rappelait les paroles de son père... Toujours analyser la situation. Ne jamais se précipiter. En pensant cela, il fit le dernier pas le séparant de la bête... CracEn marchant sur cette brindille, le temps lui sembla s'être figé. Puis, sans qu'il put le voir, l'ours se retourna et le projeta violemment contre un arbre, l'assommant à moitié. GROAAAAAAAAARC'était le grognement le plus violent qu'il n'ait jamais entendu. L'ours se précipita ensuite vers lui, puis se mit en position d'attaque. C'était la fin, Emmett le savait. Jamais il n'arriverait à tuer l'animal, et il mourrait ainsi, sur une faute d'inattention. C'est alors que se produisit la chose la plus inattendue : une grande blonde surgit des bois et mordit l'ours en plein dans le cou, le projetant à plusieurs mètres de loin. Puis, il sombra dans l'inconscience. Lorsqu'il commença à reprendre conscience, il sentit quelque chose dans son corps. C'était chaud. Très chaud. Brûlant. Il lui semblait que son propre corps brûlait, qu'il était sur un bûcher, et il pria pour que cela cesse. Emmett commença alors à se débattre, maîtrisé par une paire de bras plus forte que lui. Au bout de plusieurs heures de supplice, il laissa tomber. Ce feu qui le ravageait était trop douloureux pour qu'il puisse bouger le moindre muscle, mais en même temps, il avait l'impression qu'il était renforcé par ce feu. Puis, il repensa à ce qu'il s'était passé. Qui était cette blonde, comment avait-elle pu ?... Et ce conseil donné par son père... pffff, foutaises ! Il aurait mieux fait de sauter sur l'ours, peut-être aurait-il eu ses chances. C'est en dissertant sur ces questions que le bûcher se renforça, et ce pendant ce qui lui semblait être une éternité. Quand enfin le feu se concentra dans son cœur, Emmett comprit qu'il n'allait pas trouver la mort, mais au contraire, autre chose. Une autre forme de vie peut-être. Il se promit alors de profiter de cette vie, de vivre pleinement et heureux, de ne pas avoir de remords... Sur ces pensées, la douleur cessa et il ouvrit les yeux... Notes pour la suite de l'histoire, non évoqué ici : Après sa transformation, Emmett soulage Carlisle et Rosalie en manifestant son contentement : tous deux craignaient qu’il ne leur en veuille. Emmett juge au contraire que c’est comme s’il avait été conduit à Dieu par un ange. Emmett a, deux fois par le passé, rencontré des gens qui sentaient "irresistiblement bon", et il n'a pas résisté. IV/ Petit examen de passage...Écrivez un RP sur un thème au choix. Si vous n'avez pas d'idées, prenez une scène du passé de votre personnage, par exemple. - Spoiler:
Il était tôt dans la matinée. Benjamin éteignit son réveil avec un grognement, comme d'habitude, il dormait très peu. Pourquoi dormir quand ca pouvait nous faire rater tellement d'informations ?
C'était donc son premier numéro du Forks Tribune qui l'embêtait. Il se passait tellement de choses étranges dans cette ville qu'il ne savait pas sur quoi écrire, et il n'avait aucune information poussée sur quoi que ce soit. Juste des bribes d'informations, des rumeurs, des chuchotements dans le restaurant, jamais rien de suffisant pour rédiger une une de journal.
Benjamin sortit de son lit en un bond, se cognant le pied dans une chaise qui traînait là.
Qu'est-ce qu'elle fait là, elle ? demanda-t-il en se frottant le front ; son rituel matinal recommencait : se cogner contre un meuble, l'insulter copieusement, se masser les tempes, foncer sous la douche, revenir prendre son savon, retourner sous la douche, allumer le chauffage, aller aux toilettes, revenir dans la douche maintenant chauffée, ouvrir le robinet, attendre deux minutes douze que l'eau soit assez chaude. Rentrer dans la douche. Ressortir accrocher sa serviette, démarrer l'eau à nouveau, sortir de la douche avec un hurlement, mettre de l'eau froide sur la brûlure, souffler un coup, retourner sous la douche avec une grimace, sentir enfin l'eau trop chaude couler sur sa peau.
C'était comme tous les matins, rien de spécial. Tout en se savonnant avec sa mousse à raser, Benjamin pensa à cette une du Forks Tribune. Dans la une, ca serait simple, il faudrait mettre une annonce pour trouver des rédacteurs lycéens ; monter un journal de toutes pièces, ce n'était vraiment pas facile, et il fallait commencer par trouver des informateurs, et des articles, en profiter pour que les jeunes puissent participer.
Benjamin se frappa la tête, enleva la mousse à raser de son corps et se savonna avec du vrai savon, cette fois. Décidément, le matin ne lui réussissait pas. Il termina enfin sa douche, et se séchant énergiquement, il tenta de se coiffer, sans succès évidemment.
Dans la cuisine, il fit chauffer de l'eau, simplement enveloppé dans sa serviette, dégoulinant sur le carrelage. Tant pis, il s'en occuperait plus tard.
Ah non ! s'écria-t-il quand, après un moment d'attente, il se rendit compte que sa casserole n'était pas sur la bonne plaque. Il allait devoir attendre, pour le thé. Un bon thé à la camomille bien chaud, c'était ce dont il avait besoin. En attendant, il enfila ses sous-vêtements et lanca sa serviette sur une chaise, dans un élan de méticulosité habituel chez lui. Puis, tentant d'éviter les amassements de vêtements et son ordinateur portable sur le sol, il traversa l'appartement pour retourner dans la cuisine. Malheureusement, il se frappa le coude sur le coin de la table et, les larmes aux yeux, sautilla sur place un petit moment.
Décidément, Benjamin n'était pas fait pour le matin. Enfin, l'eau commenca à bouillir, et il lanca le sachet de thé dedans, changeant la casserole de plaque. Il avait envie de sortir, de profiter de l'air frais avant d'aller s'enfermer dans son bureau. Il regarda par la fenêtre : il faisait plutôt beau, un peu de vent, mais pas froid du tout. Une vieille voisine le regardait par sa fenêtre et, en maugréant, il attrapa un jean et une chemise. Décidément, si on ne pouvait même plus être en sous-vêtements chez soi ! La vieille femme disparut de sa fenêtre dès qu'il eut enfilé son pantalon. Comme quoi, la lubricité n'a pas d'âge, songea-t-il avec un petit sourire ironique.
Peut-être qu'il pourrait faire un premier numéro sur les plages de la région. La plage de la Push était, d'après les guides touristiques, magnifique. Non pas qu'il puisse en faire la une, mais il pourrait gagner quelques paragraphes, voire une page entière, avec ca. Il retira sa chemise pour la remplacer par un T-Shirt beige ; s'il allait à la plage, il ferait mieux de ne pas trop bien s'habiller !
Il n'habitait pas loin de la plage et s'y dirigea à pied, son appareil photo tout neuf autour du cou. Un journaliste, aujourd'hui, devait pouvoir prendre des photos, faire un reportage, écrire un article. Tout par la même personne.
Le sable était doux sous ses pieds nus ; il venait de retirer ses baskets qui avaient été blanches un jour (eh, on ne se paye pas tous les jours des nouvelles chaussures, quand on a le salaire d'un journaliste débutant !). La marée était basse, mais commencait à remonter très lentement.
Soudain, il vit une jeune fille aux cheveux roux, assise face à l'eau, ses cheveux attachés au niveau de la nuque, un appareil photo très semblable au sien collé à son oeil gauche. Il attendit qu'elle ait pris sa photo, ne voulant pas la déranger ou la faire sursauter.
Hé, salut toi ! la héla-t-il de loin, et il s'approcha pour se planter face à elle et tendre la main avec un grand sourire. Tu prends beaucoup de photos ?
Sur Magic-Twilight. (Personnage : Benjamin Cohen) V/ Et sinon, qui c'est qu'est derrière l'ordi ?
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Âge : 15 Prénom ou surnom : Lex' Homme ou Femme derrière l'écran ? Fille Comment avez-vous connu le forum ? Par Lo'/Em'/Aro (je crois ?) Qu'est-ce qui vous a donné envie de vous inscrire ? Le contexte original et les postes vacants.
Remarque sur le design : le forum est trop large pour l'écran, ce n'est pas pratique du tout.
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